DréossiPierre DRÉOSSI

Présentation

FRANCE FRANCE
Naissance12 oct. 1959
Roubaix, FRANCE
Âge64 ans
Arrivée(s)
2006 (Entraîneur)
2002 (Manager)
Départ(s)
2007 (Entraîneur)
2013 (Manager)
Carrière
LilleLilleManager
RennesRennesManager
RennesRennesEntraîneur
Paris FCParis FCManager
PanathinaïkosPanathinaïkosManager
MetzMetzManager
Lors de l'été 2002, François Pinault fait le ménage après 5 saisons comme actionnaire majoritaire du SRFC. En premier lieu, il nomme Pierre Dréossi comme manager général, un poste qu'il occupait déjà à Lille. Présenté comme l'un des tous meilleurs à ce poste, Dréossi a pour mission d'instituer une nouvelle politique sportive et financière. En dépit de l'arrivée de Cech un des meilleurs gardiens au monde, sa première campagne de recrutement est ratée avec Loeschbor, Fleurquin, Ivanov et le coach Bergeroo remplacé par Halilhodzic après seulement 10 matchs. L'intronisation de Bölöni en 2003 est un choix plus réfléchi qui - combiné aux arrivées de Källström, Frei puis Utaka, Mensah ainsi qu'à l'émergence de Faty, Bourillon, Gourcuff et Didot - permet au club de s'installer en haut du classement et de se qualifier directement pour la Coupe UEFA en 2005. En 2006/2007, il devient l'entraîneur et manque la qualification pour la Champion's League lors des derniers instants de la saison. Pour franchir un cap, il recrute des joueurs confirmés et plus chers en salaire (Pagis, Wiltord, Leroy) mais la mayonnaise ne prend pas avec les jeunes. Il laisse son poste à Guy Lacombe fin 2007 ; celui-ci remet l'équipe à flot et termine la saison qualifiée pour l'Intertoto. Malgré un total record en championnat (61 points) en 2008/2009 et une finale de Coupe de France, le courant ne passe plus entre Dréossi et Lacombe. Lors de l'été 2009, Antonetti devient le nouvel entraîneur du club avec pour mission de faire une grande place aux jeunes du cru (Théophile, M'Vila, Brahimi, Kembo) ou recrutés à l'étranger pour atteindre les objectifs européens. À cette nouvelle tendance s'ajoute une politique salariale visionnaire qui permet au club d'anticiper la baisse des budgets des clubs français tout en restant attrayant par un système de primes inédit dans l'hexagone. La saison 2012/2013 avec une finale de Coupe de la Ligue perdue contre Saint-Etienne (1-0) et une fin de championnat catastrophique lui est fatale. Comme le coach Antonetti, l'actionnaire lui indique la sortie en juin 2013. L'organigramme du club s'en trouve chamboulé et ne comporte plus de Manager Général.